اشتباهات رایج در زبان فرانسه – قسمت هفتم
آذر ۱۳, ۱۳۹۹
Les deux aumones
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le casse-noisette

در مسیر آموزش زبان فرانسه، قابلیت درک شفاهی زبان فرانسوی یا (comprehension orale)  یکی از مهمترین مواردی است که زبان آموزان زبان فرانسوی، می بایست بر روی آن کار کنند.

ما با استفاده از متدهای به روز آموزش زبان فرانسه، شما عزیزان را در آموزش آنلاین زبان فرانسه همراهی خواهیم کرد.

در این سر فصل داستان های ساده صوتی را برای شما آماده کرده ایم. ابتدا سعی کنید دو مرتبه  این داستان صوتی فرانسوی را بدون نگاه کردن به متن گوش کنید.

 

 

دانلود فایل صوتی

 

سپس به فهرست لغات مهم این داستان که در ادامه می آید مراجعه کرده تا با لغات فرانسوی جدید این داستان آشنا شوید

S’affairait : Il s’agit du verbe prononominal « s’affairer » conjugué à l’imparfait. Il signifie » s’empresser », « s’occuper activement ».

Guirlandes : Une guirlande est un long ruban de papier découpé pour décorer un objet, un lieu, une salle.

Trônait : Il s’agit du verbe « trôner » conjugué à l’imparfait. Le verbe « trôner » signifie « occuper la place d’honneur ».

Se glissa : Il s’agit du verbe pronominal « se glisser » conjugué au passé-simple. Il signifie « s’introduire doucement dans un espace étroit. »

Tarda : Le verbe « tarder » est conjugué au passé-simple. Il signifie » être lent à venir », « arriver tard »

Creuser : Le verbe « creuser » signifie « faire un canal », « un orifice », un trou.

Avait décrété : Il s’agit du verbe « décréter » conjugué au plus-que-parfait. Il signifie « décider avec autorité ».

Tenter : Le verbe « tenter » signifie « essayer ».

S’y étaient cassé les dents : L’expression « se casser les dents sur quelque chose » conjuguée ici au plus-que-parfait, signifie « échouer », « ne pas réussir à faire quelque chose ».

Avait eu vent de : L’expression « avoir vent de » signifie « avoir été informé de ».

S’élancèrent : Le verbe pronominal « s’élancer » conjugué au passé-simple signifie « se précipiter dans une direction ».

En détresse : Cette locution désigne une personne qui est dans une situation dangereuse et qui a besoin d’aide.

Prenait vie : L’expression « prendre vie » signifie « s’animer, devenir vivant »

Des friandises : Une friandise est une confiserie (bonbon) ou petite pâtisserie.

Dénoua : Le verbe « dénoua » conjugué au passé-simple signifie « défaire un nœud »

سپس می توانید متن پیاده شده فایل صوتی داستان را همزمان با گوش دادن مجدد به فایل صوتی دنبال کنید.

 

دانلود فایل متن داستان

 

در انتها، متن را بدون گوش کردن به فایل صوتی مطالعه کرده و لغات جدید را یادداشت کنید

هر هفته این تمرین را برای یک داستان انجام داده و لغات داستان هفته گذشته را که یادداشت کرده اید، چندیدن بار مرور کنید

پس از پایان داستان های هر سطح، به عنوان مثال مقدماتی، یک هفته به خود استراجت داده و در هفته بعدی، تنها لغاتی را که از داستان های این سطح یادداشت کرده اید، مرور نمایید

بعد از یک ماه از اتمام سطح اول، مجدد به داستان های سطح مربوطه مراجعه کرده و این بار هر روز یک داستان را گوش  کرده و لغت هایش را مرور نمایید

 

دانلود فایل صوتی

 

 

Le casse-noisette et le Roi des souris

C’était le soir de Noël. Dans la maison de Franz et Marie, on s’affairait pour préparer la fête. Un grand feu pétillait dans la cheminée. Les murs et les plafonds étaient décorés de belles guirlandes. Il y en avait de

toutes les couleurs : des rouges, des jaunes, des bleues…. Un immense sapin, plein de boules de verre et de bougies scintillantes, trônait au milieu du salon.

Soudain, on frappa à la porte. Marie et son frère, tout excités, se précipitèrent dans l’entrée. C’était grand-mère, grand-père, les cousins ainsi que l’oncle Drosselmeyer. Tous se dirigèrent vers le salon et les enfants impatients se précipitèrent au pied de l’arbre où des dizaines de cadeaux les attendaient.

En ouvrant leurs cadeaux, ils découvrirent : un cheval à bascule, des soldats de plomb, un petit lit de poupée… Marie, elle, déballa avec beaucoup de soin son cadeau et découvrit un joli casse-noisette en bois, vêtu d’un bel uniforme rouge et noir.

Franz, persuadé qu’il s’agissait d’un petit soldat, voulut lui arracher l’objet des mains. Il tira dessus si fort que le bras du pauvre casse-noisette se brisa.

Les yeux de Marie se remplirent de larmes.

Heureusement, l’oncle Drosselmeyer, qui était un peu magicien, sortit un mouchoir de sa poche. Il enroula soigneusement le tissu autour du pantin pour lui maintenir le bras. Il déposa ensuite le blessé dans un petit lit de poupée au pied du sapin.

Tu sais Marie, dit l’oncle ce casse-noisette n’est pas un jouet ordinaire. Va vite te coucher, je vais venir te raconter son histoire.

Marie se brossa les dents à la hâte et se glissa dans son lit. Comme promis, l’oncle Drosselmeyer ne tarda pas à venir lui dire bonsoir.

Mon oncle, dit la petite fille, pourquoi est-ce que ce casse-noisette n’est pas un jouet comme les autres ?

Ah c’est une longue histoire, dit l’oncle. Mais je vais te raconter son secret.

Il y a très longtemps, des souris se sont mises à creuser d’immenses galeries et de longs tunnels sous toute la ville. Un royaume immense auquel on accédait par des passages secrets. C’était le roi des souris qui régnait sur ce terrible empire. Un jour, ce roi très amoureux, voulut épouser une jolie princesse nommée Pirlipat. Mais celle-ci refusa. Le roi rentra alors dans une colère noire et la fit enfermer. Il avait décrété que Pirlipat resterait prisonnière pour toujours sauf si un jeune homme réussissait à casser une noix d’un seul coup de dents.

Bien des jeunes gens étaient venus pour tenter de délivrer la princesse, mais, tous s’y étaient cassé les dents.

Un jour, un jeune garçon, qui avait eu vent de cette histoire, se présenta. Ce n’était pas un prince, ni un chevalier, ni un monsieur important. Non, c’était juste un petit soldat avec des bottes noires et un uniforme rouge. On lui apporta la fameuse noix et, d’un coup de dent, d’un seul coup de mâchoire, il la brisa. Le roi des souris fut bien obligé de tenir sa promesse et de délivrer la princesse. Mais il était tellement furieux contre le jeune soldat qu’il le transforma en casse-noisette en bois !

Voilà la triste histoire de ce casse-noisette.

Et c’est ce casse-noisette-là que j’ai reçu ? demanda Marie en écarquillant les yeux.

Oui, dit son oncle, et personne ne sait comment le délivrer du mauvais sort. Allez, maintenant, endors-toi, il est tard…”

L’oncle Drosselmeyer embrassa Marie sur le front, et sortit de la chambre.

Marie n’arrivait pas à trouver le sommeil. Aussi décida-t-elle d’aller chercher son casse-noisette. Elle descendait l’escalier lorsqu’elle entendit des bruits bizarres.

À sa grande surprise, elle vit son Casse-Noisette, encerclé d’une armée de souris.

Le petit bonhomme appela à l’aide les soldats de plomb et tous les autres jouets au pied du sapin. Ils s’élancèrent tous ensemble contre les souris. Le roi des souris, lui, fonça sur Casse-Noisette.

Voyant son Casse-Noisette en détresse, Marie attrapa son chausson, visa le roi, et lui lança violemment sa pantoufle. Il tomba à terre, mort ou assommé. Les souris, vaincues, emportèrent leur roi et quittèrent le champ de bataille.

Casse-Noisette s’approcha alors de Marie et lui dit :

– Tu m’as sauvé la vie ! Je ne sais comment te remercier !

En disant cela, il prenait vie et peu à peu, se transformait en un magnifique jeune homme. Marie n’en croyait pas ses yeux. Soudain, un tourbillon de flocons de neige les emporta dans les airs, comme par magie.

Ils voyagèrent jusqu’au fabuleux pays des friandises. Une fée, vêtue d’une magnifique robe bleue les attendait.

Marie était sans voix : Sur le chemin qui menait au palais de la fée Dragée, les maisons étaient en pain d’épice, les fleurs en bonbons et les troncs des arbres en sucre d’orge…

La fée leur demanda s’ils avaient fait bonne route et les conduisit à l’intérieur de son palais, dans une immense salle où une grande table était dressée, pleine de gâteaux, de brioches, et de bonbons.

Tout était si joli que Marie ferma les yeux d’émerveillement. Quand elle les rouvrit, elle se trouvait dans son lit et son petit bonhomme en bois, était là, à côté d’elle, le mouchoir autour du bras. Elle le prit dans la main, dénoua le mouchoir et constata que son bras était comme par miracle, réparé.

D’après Ernest Théodore Wilhelm Amadeus Hoffmann et Pyotr Il’yich Tchaikovsky

تهیه و تنظیم: میلاد عاصمی پور

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